Mapping de la médiation
Une vision d'ensemble de la médiation.
François ALMALEH est l'un des quelques intervenants (non-juridiques) en France dédié à la médiation entre actionnaires et/ou dirigeants (exclusivement). Nous concrétisons un plan de marche structuré, cohérent et répondant à vos objectifs, dont la forme finale est un protocole d'accord. Et ceci dans un calendrier défini à l'avance pour se projeter sur une fin de conflit.
Réduire la pression conflictuelle pour le bien de l'entreprise, des dirigeants, de l'actionnaire permet à chacun de sortir par le haut quand tout est fait en bonne intelligence (même si rien n'est simple).
L'expérience enfin nous montre que la résolution de conflits par avocats interposés n'est pas du tout un bon format car l'affrontement juridique est stérile.
Pour que tout soit clair en début de mission, la tarification : à l'heure (base 550 € HT) ou au forfait sur la base d'une lettre de mission échéancée. Nous tenons à la transparence et à l'impartialité.
Souvent, des situations (pre-)conflictuelles finissent inutilement en justice, ou sont portées très longtemps, mettant en péril de nombreux paramètres au sein de l'entreprise. Les opérations de sortie de minoritaires, par exemple, créent la plupart du temps des ruptures. Sans analyse des conséquences futures, les risques augmentent.
Notre maîtrise des contraintes actionnariales, juridiques, financières et fiscales renforce l'expérience et la pratique, grâce notamment à une approche réellement à 360°. Nous sécurisons en final les protocoles d'accord pour éviter des "rechutes". Les conseils juridiques et experts-comptables peuvent entrer dans la boucle pour co-valider les accords.
30 ans d'expérience auprès d'entrepreneurs familiaux comptent dans la résolution de conflits. Nous avons complété notre approche terrain par une solide base théorique de Thomas Fiutak (Université de Minneapolis) en 2009 (via l'Association Nationale des Médiateurs).>
La médiation s'exerce concrètement. Ces quelques présentations sont là pour proposer un peu de hauteur de vue sur chaque sujet ci-dessous.
Une vision d'ensemble de la médiation.
Un article de fond sur la complexité et tenter de la déjouer.
Au-delà des conflits entre actionnaires, la gestion de crise nécessite de l'expérience vécue.
Construire un futur actionnarial bien plus clair et serein.
Principes de mise en oeuvre : Si les premiers réflexes naturels en cas de conflit, avéré ou potentiel, sont en lien avec son conseil habituel, cela ne permet qu’un temps d’atténuer la situation. Anticiper est naturellement la base concrète pour éviter les conflits. Agir permet de gagner du temps, de l’énergie et de réduire les risques à tous les niveaux.
La résolution de conflits passe par un tiers ayant des valeurs, une culture, une écoute, un référentiel spécifiques à la médiation. Son intervention se situe très en amont pour agir ensuite.
La volonté des parties de recourir à un médiateur est en soi une décision raisonnable, souvent nécessaire… pour éviter que la situation se dégrade, pour soi, pour l’entreprise, pour sa famille.
La médiation doit être acceptée comme telle par chacune des parties, dans un processus équilibré, sur une durée définie, avec des objectifs compris de part et d’autre.
Ne pas choisir la médiation et faire intervenir ses conseils habituels revient à négocier, à une certaine forme de confrontation qui est plus difficile à gérer, plus conflictuelle donc moins rapide.
Nous intervenons quand naturellement l’entreprise (ou holding) est signataire de la lettre de mission pour que la neutralité soit actée.
Des frontières à contenir : Au cours d’une médiation, souvent, les non-dits refont surface, les tensions deviennent vives, sont exprimées de part et d’autre. Tout ce qui est accumulé pendant des années resurgit, parfois cela part d’un détail a priori insignifiant. La boîte de Pandore est ouverte. Il faut savoir la contenir et la refermer assez vite : un médiateur doit savoir gérer cette montée en puissance pour laisser les paroles se dire (sans dérapage verbal bien sûr) et calmer ensuite le jeu…sans perdre l’objectif initial, celui de la réussite de la médiation pour le bien de tous.
Gérer la boite de Pandore : Il est important de bien comprendre qu’il est dans l’intérêt commun des personnes de viser la réussite des objectifs. Ceci doit se gérer dans un temps limité afin qu’une situation peu évidente ne se transforme en système complexe voire chaotique et donc destructeur (les intérêts strictement personnels et financiers sont ici des facteurs aggravants ; il est possible de les atténuer en médiation).
De belles expériences qui s'enrichissent au profit de nouveaux sujets.
Grâce à une expérience de terrain, nous avons dénoué des situations parfois impossibles. Cela prend du temps, il faut l'avouer, mais des petits pas permettent d'arriver au but. La confidentialité ne nous permet pas de vous décrire en détail les tensions et les situations déjà rencontrées.
Nous avons traité des sujets entre frères et cousins, des sujets entre groupes familiaux, entre des groupes d'actionnaires, dans l'industrie, les services, avec des approches globales à 360° tout simplement parce que les volontés des uns et des autres sont larges : finance, patrimoine, entreprise, transmission, pouvoir, dividendes, implication, etc.
A la conclusion de chaque dossier, quelle qu'en soit l'issue, nous mettons en forme les points positifs et négatifs pour ne rien perdre des points traités et vécus. L'enrichissement se capitalise pour chaque nouveau dossier (en gardant la plus stricte confidentialité).
Un contact par téléphone ou lors d'un premier rendez-vous est plus à même de valider une prochaine étape.
François ALMALEH dirige la société FINADOC ACTIONNAL, acteur de la PME/ETI sur deux sujets essentiels : les opérations portant sur la géographie du capital (actionnariat, médiation, gouvernance), et la gestion de fortune, exclusivement pour des dirigeants. 30 ans d'expériences opérationnelles.